Activité physique et diabète
PRESTATIONSActivité physique et diabète
L’activité physique et diabète sont indissociables lorsqu’il s’agit de mieux réguler la glycémie, d’améliorer la sensibilité à l’insuline et de réduire les risques de complications métaboliques. Depuis plusieurs années, les recherches scientifiques confirment que l’exercice constitue un pilier incontournable de la prise en charge du diabète de type 1 comme du diabète de type 2. Mais pour que l’activité physique soit bénéfique, elle doit être adaptée au type de diabète, aux traitements suivis et à la condition physique de chaque personne. Dans mon cabinet de nutrition à Paris, mais aussi lors de mes permanences à Brest et à Quimper, ainsi qu’en téléconsultation, j’accompagne chaque patient avec un suivi nutritionnel et micronutritionnel personnalisé pour trouver le juste équilibre entre alimentation, activité physique et bien-être.
Les bénéfices de l’activité physique sur la glycémie et l’insulinorésistance
Chez les personnes atteintes de diabète, pratiquer régulièrement une activité physique permet d’augmenter la consommation de glucose par les muscles. En effet, lors de l’effort, les fibres musculaires utilisent directement le sucre circulant dans le sang, ce qui contribue à faire baisser la glycémie. Cet effet immédiat est complété par un bénéfice durable : l’amélioration de la sensibilité à l’insuline. Autrement dit, après plusieurs séances régulières, les cellules répondent mieux à l’insuline, ce qui permet de limiter les pics glycémiques et de réduire l’insulinorésistance.
Dans le diabète de type 2, souvent associé à un excès de poids, l’activité physique a un rôle clé pour favoriser la perte de masse grasse, préserver la masse musculaire et améliorer le métabolisme énergétique. Dans le diabète de type 1, bien que la production d’insuline soit déficiente, l’exercice améliore la stabilité glycémique, réduit les doses d’insuline nécessaires et améliore la qualité de vie globale.
Les types d’activités conseillés
Toutes les activités physiques ne se valent pas lorsqu’il s’agit de réguler le diabète. Les exercices d’endurance (marche rapide, vélo, natation, course douce) sont particulièrement intéressants car ils sollicitent le système cardiovasculaire et favorisent l’utilisation du glucose sanguin. Les activités de renforcement musculaire (musculation douce, pilates, exercices avec poids du corps) sont également essentielles pour préserver la masse musculaire, qui constitue un véritable réservoir de glucose.
L’idéal est de combiner ces deux approches : par exemple, alterner des séances de marche rapide ou de vélo avec des exercices de renforcement musculaire deux à trois fois par semaine. Les activités douces comme le yoga ou le stretching ne font pas directement baisser la glycémie, mais elles contribuent à réduire le stress, un facteur souvent impliqué dans la désorganisation glycémique.
Adapter l’activité physique selon le type de diabète et le traitement
L’un des points essentiels est d’adapter le programme d’activité physique en fonction du type de diabète et des traitements suivis. Pour le diabète de type 1, il est indispensable de surveiller les risques d’hypoglycémie, notamment lors d’efforts prolongés. L’ajustement des doses d’insuline et l’adaptation des apports glucidiques avant et après l’exercice doivent être personnalisés. Pour le diabète de type 2, l’accent est mis sur la régularité et la progressivité de l’entraînement, afin de soutenir la perte de poids et de stabiliser la glycémie sans provoquer de variations trop brutales.
Chaque patient est différent : âge, niveau d’entraînement, traitements médicamenteux, antécédents cardiovasculaires. C’est pourquoi je propose toujours une approche individualisée. L’expérience que j’ai acquise à l’hôpital Necker Enfants Malades à Paris m’a appris à gérer des cas complexes, aussi bien pour des adultes que pour des enfants, en tenant compte de toutes les dimensions médicales et psychologiques.
Le rôle des compléments alimentaires conseillés en micronutrition
Au-delà de l’alimentation équilibrée et de l’activité physique, certains compléments alimentaires peuvent soutenir la gestion du diabète. La micronutrition permet de renforcer la sensibilité à l’insuline, de protéger les cellules contre le stress oxydatif et de limiter l’inflammation chronique. Les oméga-3, le magnésium, certaines vitamines du groupe B, les antioxydants et la vitamine D sont régulièrement étudiés pour leur impact positif sur la régulation glycémique.
En tant que nutritionniste diplômé en micronutrition, je ne conseille jamais les mêmes compléments à tous mes patients. Le choix se fait après une évaluation complète du profil de chacun : habitudes alimentaires, analyses biologiques, traitements en cours, objectifs. Ce suivi personnalisé permet d’éviter les excès inutiles et de cibler précisément les besoins.
Consulter un nutritionniste pour un suivi adapté
Mon rôle de nutritionniste est d’adapter un suivi sur mesure à chaque patient. Ma méthode n’est jamais la même pour tous, car chaque personne vit son diabète différemment. Certains ont besoin d’un accompagnement pour mieux gérer leur poids, d’autres pour apprendre à se faire plaisir sans mettre en danger leur équilibre glycémique, d’autres encore pour concilier traitement, vie professionnelle et activité physique.
J’assure un suivi régulier, basé sur l’écoute, l’adaptation et la bienveillance. Mon objectif n’est pas seulement d’apporter des conseils théoriques, mais de les transformer en habitudes de vie concrètes et durables. Les résultats que mes patients obtiennent depuis des années témoignent de l’efficacité de cette approche personnalisée.
Une expertise issue de l’hôpital Necker
Mon expérience de plusieurs années à l’hôpital Necker Enfants Malades à Paris m’a permis de gérer la nutrition du surpoids et du diabète dans des situations parfois très complexes. Cette expertise hospitalière, associée à ma pratique libérale, me permet d’apporter des solutions adaptées à chaque profil, dans un cadre professionnel et scientifique. Je suis reconnu pour ma rigueur médicale, mais aussi pour mon approche humaine et rassurante.
Mes patients me décrivent comme quelqu’un de gentil, toujours à l’écoute et attentif à leurs besoins. Les résultats obtenus et leur grande satisfaction n’ont plus rien à prouver.
Consultations à Paris, Brest, Quimper et en téléconsultation
Je consulte dans mon cabinet à Paris, mais j’assure également des permanences régulières à Brest et à Quimper, afin de rendre mes consultations accessibles au plus grand nombre. Pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, je propose également la téléconsultation, qui permet un suivi de qualité à distance, avec la même rigueur et la même personnalisation.
Quel que soit le mode de consultation choisi, mon approche reste la même : scientifique, professionnelle, chaleureuse et tournée vers les besoins de chaque patient.
Conclusion : reprendre le contrôle avec un accompagnement personnalisé
L’activité physique et diabète sont indissociables lorsqu’il s’agit de prévenir les complications et d’améliorer la qualité de vie. Mais l’exercice doit être adapté, progressif et associé à une alimentation équilibrée, parfois soutenue par la micronutrition. En tant que nutritionniste diplômé et spécialisé, mon rôle est d’accompagner chaque patient dans ce processus, en construisant une stratégie individualisée qui prend en compte la physiologie, les habitudes de vie et les objectifs personnels.
Grâce à mon expérience hospitalière et à des années de pratique en cabinet, j’apporte des solutions claires, pratiques et efficaces, qui permettent à chacun de mieux vivre avec son diabète. Si vous souhaitez bénéficier de ce suivi personnalisé, n’hésitez pas à prendre rendez-vous dans mon cabinet de Paris, lors de mes permanences à Brest et à Quimper, ou directement en téléconsultation.
Pascal Nourtier est à votre écoute.
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